Nom : Liganowa
Prénom: Hitoshimii
Surnom : Hellgirl
Âge : 28
Nationalité : Japonaise
Nature : Humaine
Sexualité : bisexuelle
Aime : les ordinateurs, la souffrance, toutes les sciences
Déteste : Les faibles, les gens socialement élevés, les choux.
Caractère : Hitoshimi est clairement dérangée. Capable du pire comme du meilleur, elle peut être tour à tour douce et à la fois capable du pire sadisme. Une schizophrénie caractérisée. Seule son génie l'a empêchée d'être enfermée. Hitoshimi est clairement instable. Mais ne dit-on pas que la frontière entre génie et folie est extrêmement floue...
Physique : Hitoshimi est ce qu'on appelle communément une femme fatale. Mesurant 1m70, bien proportionnée, (elle en a joué bien des fois), des yeux violets profonds, elle garde toujours une coiffure au carré (ça évite les accidents capillaires pendant des expériences...) Toujours vêtue de noir, sexy en permanence, Hitoshimi n'hésite pas à lier travail et plaisir... La luxure ? Elle aime et le montre à tout instant.
Pouvoirs : aucun
Armes : une dague à la cheville, un 9mm à la ceinture, et toujours un 45 dans le bureau où elle travaille...
Particularité(s) : Porte des tatouages un peu partout sur le corps...
Statut : Scientifique
Histoire : Hitoshimi est le résultat d'une fécondation in vitro, Hitoshimi est née dans un laboratoire asiatique. Dès son plus jeune âge, elle fut initiée aux sciences. D'abord à la biologie (elle obtint son doctorat à 15 ans) puis à la psychologie (doctorat obtenu dans le même temps) Elle entre au MIT (Massachusetts Institute of Technology) a 16 ans, en ressortit à 20 ans, majeur de promo. Après avoir passé plusieurs années à pirater tous les systèmes militaires possibles, elle dut obligée de se terrer un peu. Elle gagnait sa vie en se prostituant un peu (son physique avantageux ne lui était pas défavorable loin de là). Comme elle est toujours persuasive, elle n'eut aucun mal à se sortir de là rapidement. Elle se damna pour arriver aux portes de l'Enfer afin d'étudier tout cela au delà de la légende. Elle ne sait rien de ses origines, et n'en fut jamais torturée. Elle ne cherchait pas à le savoir, car cela lui conférait une indépendance plus qu'appréciable. Maintenant elle était là, et comptait bien en profiter.